
Source : rapports annuels. / Fiche Airbus bourse mise à jour le 26/04/2020
Présentation d'AIRBUS
Airbus est un groupement de coopérations industrielles européennes qui conçoit, fabrique et distribue des produits et services dans le secteur aéronautique et spatial (branches civiles et militaires).
Créé en 2000, sous le nom d’EADS (European Aeronautic Defence and Space company) et regroupant la quasi-totalité des constructeurs français, allemands et espagnols, le groupe prend en 2013, le nom de sa filiale dédiée à l’aviation civile, Airbus, dont l’existence remonte au début des années 1970.
Le groupe Airbus est côté en bourse depuis le mois de juillet 2000 et la part de flottant n’a fait que progresser durant ces deux dernières décennies
Principaux actionnaires
2019 en bref
- (*) Marge opérationnelle moyenne entre 2010-2019 (En 2019, MOP : 1,45% en publié).
- (**) Free Cash Flow avant fusions et acquisitions et financements-clients
Les métiers d'AIRBUS
Activité principale du groupe :
94% de l’activité proviennent des ventes de plateformes et 6% des services.
863 avions livrés (55 milliards €) et 768 commandes nettes en 2019 (66 milliards €).
Les ventes 2019 par famille :
- A220 : 6%
- A320 : 74%
- A330 : 6%
- A350 : 13%
- A380 : 1%
Activité en baisse en 2019.
68% du CA provient des plateformes contre 32% pour les services.
Une restructuration significative du programme A400M a plongé les résultats en négatifs.
Les prises de commandes en 2019 traduisent une poursuite de la baisse.
La marge opérationnelle ne retrouvera son niveau historique (autour de 8%) que dans quelques années d’après le management.
Le CA 2019 :
- 51% aviation militaire
- 26% systèmes spatiaux
- 23% intelligence connectée & autres
3ème activité du groupe en termes de chiffre d’affaires.
Revenus stables : la hausse des services a compensé la baisse des livraisons d’hélicoptères.
- Le CA 2019 est comme suit:
- 55% défense / 45% civil
Ventes par division
ROP* par division
* Résultat opérationnel ajusté
Une gamme de produits complète
court courrier

Moyen courrier

Long courrier

Par zone géographique

17%
Amérique du nord
32%
Asie-Pacifique
32%
Europe
10%
Moyen Orient
3%
Amérique latine
6%
Autres
Carnet de commandes
Avec 7,482 appareils, le carnet de commande à fin 2019 représente 8,6 fois la production de 2019 (863 avions).
- Le A320 est le best seller du groupe.
- L'Asie représente 1/3 des commandes.
Carnet de commandes par modèle*
* Aviation commerciale en unités
Carnet de commandes par région**
** Aviation commerciale en valeur
Prévisions du marché aéronautique mondial
Evolution de la demande
En volume

Sur les 39,210 unités à fabriquer, 36% seront destinées à remplacer la flotte actuelle et 64% pour servir la croissance de la demande.
Evolution par région
En %
Evolution du trafic aérien
En RPK* en 60 ans (1978 / 2038)

RPK (Revenue passenger kilometer) ou passager-kilomètre payant est un indicateur clé du secteur.
Evolution par segment
En %
Source : Rapport annuel 2019 d’Airbus
Des leviers de croissance à long terme...
Hausse de la population mondiale
Durcissement des normes anti-pollution
Amélioration du niveau de vie
Urbanisation croissante de la population mondiale
Création de nouvelles routes et infrastructures aéroportuaires
... Mais des défis à court terme historiques
le groupe doit faire face à plusieurs défis de taille :
- Les termes de l’accord du Brexit qui risquent de perturber significativement la chaine logistique du groupe.
- L’arrêt du programme A380 qui continuera de peser sur les comptes.
- Le recul de l’activité défense et aérospatiale.
- La restructuration du programme A400M.
- Le fond de pension qu'Airbus doit continuer d’abonder (autour d’un milliard € par an) tant que les taux restent aussi bas.
- Le décaissement de 4 milliards € d’amendes et frais liés en 2020
- Des clients en quasi-faillite à cause des dégâts économiques du COVID-19
- Un risque important de report des livraisons en 2020 et 2021
La chute du pétrole : l'autre menace
Explication : La faible consommation des avions est le facteur clé de succès des compagnies aériennes. Une compagnie qui possède une flotte neuve faiblement consommatrice de kérosène possède un avantage concurrentiel. Elle pourrait appliquer des prix plus bas tout en étant plus rentable que ses concurrentes. Ces dernières doivent dès lors renouveler leur flotte pour s’aligner sur la concurrence ou « mourir ». C’est un élément fondamental qui soutient le renouvellement rapide des flottes et les ventes d’Airbus. Avec la chute des prix du pétrole, cette raison perd de son sens.
Un groupe solide financièrement
Situation financière d’Airbus au 31/12/2019

En plus des liquidités au bilan 2019 , Airbus a confirmé avoir sécurisé des lignes de crédits supplémentaires au T1 2020. Le groupe a désormais à sa disposition 30Mds€. Une situation enviable par rapport à celle de ses concurrents et indispensable pour traverser une crise historique.
Les prévisions du groupe pour 2020 reposaient sur une génération de 4 Mds€ de Free Cash Flow, sur la base de 880 avions vendus (vs. 863 en 2019).
Ces 4 Mds€ devraient servir à payer l’amende et les frais liés.
Au vu de la situation actuelle, la vente de 880 avions en 2020 nous parait être un objectif ambitieux. Le groupe devra très probablement puiser dans sa trésorerie.
L’arrêt de la distribution du dividende , décidé au mois de mars 2020, est un choix difficile mais rationnel dans ces conditions.
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Performance opérationnelle
Chiffre d'affaires
En milliards d’euros
résultat opérationnel
En milliards d’euros
marge opérationnelle
En %
résultat net
En milliards d’euros
Trésorerie nette
En milliards d’euros
Gearing
En %
Rentabilité des fonds propres
En %
Actif net par action
En EUR
Commentaires MasterBourse
Les marchés oligopolistiques sont caractérisés par de solides barrières à l’entrée. Le marché de l’aéronautique en est un, et ses barrières à l’entrée sont de véritables murailles. La débâcle qu’a connu le Boeing 737 MAX, après les deux accidents successifs d’octobre 2018 et de mars 2019, témoigne des difficultés que peut connaitre le lancement d’un nouvel appareil sur ce type de marché. Il serait donc très compliqué de voir apparaître un nouvel acteur capable de menacer sérieusement, les parts de marchés des mastodontes du secteur dont Airbus fait partie.
Au sein de cet oligopole, Airbus s’est créé une place défendable et durable grâce, notamment, à une gamme complète qui couvre l’intégralité des besoins de l’aviation civile. Le groupe a très rapidement saisi que le nerf de la guerre du secteur résidait désormais dans la consommation de kérosène. Il s’agit là du facteur clé de succès des compagnies aériennes, clientes d’Airbus. Une compagnie aérienne qui possède une flotte neuve faiblement consommatrice de kérosène, pourrait se permettre d’appliquer des prix plus bas tout en conservant des niveaux de rentabilité équivalents à ceux de ses concurrents. Les produits Airbus, dont les A220, A320Neo, A330Neo, répondent parfaitement à ces besoins, et occupent ainsi une position de leaders sur le marché.
Les caractéristiques du marché étant ce qu’elles sont, les principaux facteurs dont dépendent les performances du groupe, sont les évolutions macroéconomiques mondiales. L’un des deux indicateurs, pouvant mesurer la potentielle évolution du marché d’Airbus, n’est autre que le PIB mondial. L’évolution des classes moyennes, désormais de plus en plus gourmandes en matière de transport aérien, constitue certainement le second indicateur le plus pertinent.
Le groupe possède à son actif, une trésorerie nette de 12,5Mds€ à fin 2019 (et près de 26Mds€ s’il tire sur les lignes de crédits existantes). Une solidité financière que lui envie d’ailleurs son principal concurrent Boeing, mais qui n’est certainement pas un luxe lorsque l’on se rend compte des nombreux défis auxquels le groupe devra faire face à court et moyen terme.
Sans mauvais jeu de mots, le groupe traverse actuellement des turbulences importantes… Il doit faire face à de nombreux défis à court terme.
Des problèmes d’ordre opérationnel d’abord, du fait notamment de l’accord du Brexit, qui risque de perturber significativement la chaine logistique du groupe. L’arrêt du programme A380 et la restructuration du programme A400 M, devraient également continuer de peser sur les comptes du groupe. Dans le secteur de la défense et l’aérospatial, le groupe enregistre un recul d’activité. Par ailleurs, Airbus doit poursuivre l’abondement du fond de pension avec près d’un milliard d’euros par an, tant que les taux resteront à des niveaux aussi bas.
Pour couronner le tout, Airbus doit faire face aux importants dégâts économiques provoqués par la crise sanitaire du COVID-19. Les compagnies aériennes sont au bord de la faillite. Leur capacité d’investissement s’est grandement détériorée… Et l’argument de renouvellement de la flotte pour abaisser la consommation de kérosène a perdu de son écho, dans un monde où le pétrole s’échange à des valeurs négatives…
En 2020, le groupe s’était fixé comme objectif de dégager un Free Cash-Flow de 4 Mds€, en vendant 880 avions (contre 863 en 2019). Ce montant est sensé payer la série d’amendes que le groupe s’est engagé à régler en 2020, pour un total de… près de 4 Mds€. Réaliser plus de ventes en 2020 qu’en 2019, nous parait déjà ambitieux, au vu des différents éléments cités plus haut. Si le groupe ne parvient pas à tenir cet objectif, il devra puiser dans sa trésorerie.
Autre élément qui illustre bien le climat d’incertitude ambiant et le manque de visibilité qui caractérise la période, le management qui avait prévu début 2020 une hausse de 9% du dividende, l’a tout bonnement annulé. C’est une décision difficile à assumer mais tout de même rationnelle et prudente dans les temps qui courent.
L’un des principaux atouts du groupe réside dans le management qui le mène. Il a prouvé sa capacité à attaquer de front les problèmes et à réagir vite.
Le groupe est en train de traverser l’un des pires chapitres de son histoire. Pour citer l’interview de Charlie Munger au Wall Street Journal : « le téléphone de Warren Buffett ne sonne pas. Les PDG des compagnies aériennes sont tétanisés. Leur manuel de stratégie n’avait pas prévu une telle situation. »
Passée cette très sérieuse (et dangereuse) tempête, le marché de l’aviation demeure structurellement porteur à long terme (+4,3% par an pour les 20 prochaines années selon Airbus). Le groupe a plusieurs atouts pour en profiter et garder son leadership.
DONNÉES FINANCIÈRES
Compte de résultat (M€) | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Chiffre d'affaire | 45 752 | 49 128 | 56 480 | 57 567 | 60 713 | 64 450 | 66 581 | 59 022 | 63 707 | 70 478 |
Résultat opérationnel | 1 187 | 1 613 | 2 131 | 2 570 | 3 991 | 4 062 | 2 258 | 2 665 | 5 048 | 1 339 |
Résultat net part du groupe | 553 | 1 033 | 1 228 | 1 473 | 2 343 | 2 696 | 995 | 2 361 | 3 054 | -1 362 |
Bilan (M€) | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 |
Actifs non courants | 41 197 | 45 455 | 46 794 | 46 213 | 48 420 | 53 438 | 55 037 | 53 941 | 56 564 | 57 686 |
Actifs courants | 41 990 | 43 021 | 45 327 | 47 098 | 47 682 | 53 243 | 56 096 | 59 996 | 58 634 | 56 723 |
Dont trésorerie | 5 030 | 5 284 | 8 756 | 7 765 | 7 271 | 7 489 | 10 143 | 12 016 | 9 413 | 9 314 |
Fonds propres | 8 936 | 8 870 | 10 420 | 11 054 | 7 079 | 5 973 | 3 652 | 13 351 | 9 719 | 5 990 |
Passifs non courants | 30 481 | 32 100 | 33 052 | 33 676 | 40 846 | 46 700 | 50 789 | 44 455 | 44 693 | 46 045 |
Dont dettes fin. À LT | 2 870 | 3 628 | 3 506 | 3 956 | 6 278 | 6 335 | 13 313 | 6 948 | 7 463 | 8 189 |
Passifs courants | 43 770 | 47 506 | 48 649 | 48 581 | 48 177 | 54 008 | 56 692 | 56 131 | 60 786 | 62 374 |
Dont dettes fin. À CT | 1 408 | 1 476 | 1 273 | 1 645 | 1 073 | 2 790 | 1 687 | 2 212 | 1 463 | 1 959 |
Total bilan | 83 187 | 88 476 | 92 121 | 93 311 | 96 102 | 106 681 | 111 133 | 113 937 | 115 198 | 114 409 |
BFR | -5 402 | -8 293 | -10 805 | -7 603 | -6 693 | -5 464 | -9 052 | -5 939 | -10 102 | -13 006 |
Ratios (%) | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 |
Variation CA | 7% | 15% | 2% | 5% | 6% | 3% | -11% | 8% | 11% | |
Marge opérationnelle | 2,6% | 3,3% | 3,8% | 4,5% | 6,6% | 6,3% | 3,4% | 4,5% | 7,9% | 1,9% |
Marge nette | 1% | 2% | 2% | 3% | 4% | 4% | 1% | 4% | 5% | -2% |
ROE | 6% | 12% | 12% | 13% | 33% | 45% | 27% | 18% | 31% | -23% |
BFR/CA | -12% | -17% | -19% | -13% | -11% | -8% | -14% | -10% | -16% | -18% |
Payout | 0% | 17% | 30% | 32% | 25% | 35% | 101% | 44% | 38% | |
Rendement dividende (c)/(a) | 0,0% | 1,2% | 1,9% | 1,6% | 1,7% | 2,3% | 2,6% | 1,9% | 1,6% | 1,4% |
Ratios d'endettement | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 |
Gearing (%) | -8% | -2% | -38% | -20% | 1% | 27% | 133% | -21% | -5% | 14% |
Dettes nettes / EBIT | -0,6 | -0,1 | -1,9 | -0,8 | 0,0 | 0,4 | 2,2 | -1,1 | -0,1 | 0,6 |
Valorisation | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 |
Nombre d'actions (en millions) | 811,1 | 814,9 | 822,1 | 780,3 | 784,8 | 783,9 | 772,7 | 774,6 | 775,7 | 782,3 |
(a) Cours (moyenne annuelle en euros) | 13,5 | 17,7 | 23,5 | 37,5 | 43,0 | 52,5 | 50,6 | 69,5 | 92,7 | 115,2 |
(1) Capitalisation boursière (en M€) | 10 940 | 14 417 | 19 361 | 29 292 | 33 757 | 41 190 | 39 126 | 53 851 | 71 943 | 90 122 |
(2) Dettes financières - trésorerie nette | -752 | -180 | -3 977 | -2 164 | 80 | 1 636 | 4 857 | -2 856 | -487 | 834 |
Valeur d'entreprise = (1)+(2) | 10 188 | 14 237 | 15 384 | 27 128 | 33 837 | 42 826 | 43 983 | 50 995 | 71 456 | 90 956 |
Données par action € | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 |
Bnpa | 0,7 | 1,3 | 1,5 | 1,9 | 3,0 | 3,4 | 1,3 | 3,0 | 3,9 | -1,7 |
(b) Actif net / Action | 11,0 | 10,9 | 12,7 | 14,2 | 9,0 | 7,6 | 4,7 | 17,2 | 12,5 | 7,7 |
(c)Dividende /action | 0,00 | 0,22 | 0,45 | 0,60 | 0,75 | 1,20 | 1,30 | 1,35 | 1,50 | 1,65 |
Valeur | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 |
PER | 20 | 14 | 16 | 20 | 14 | 15 | 39 | 23 | 24 | 0 |
VE/ROC | 8,6 | 8,8 | 7,2 | 10,6 | 8,5 | 10,5 | 19,5 | 19,1 | 14,2 | 67,9 |
VE/CA | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,5 | 0,6 | 0,7 | 0,7 | 0,9 | 1,1 | 1,3 |
P/B (a)/(b) | 1,2 | 1,6 | 1,9 | 2,6 | 4,8 | 6,9 | 10,7 | 4,0 | 7,4 | 15,0 |
DONNÉES FINANCIÈRES
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Compte de résultat (M€) | 2017 | 2018 | 2019 |
---|---|---|---|
Chiffre d'affaire | 59 022 | 63 707 | 70 478 |
Résultat opérationnel | 2 665 | 5 048 | 1 339 |
Résultat net part du groupe | 2 361 | 3 054 | -1 362 |
Bilan (M€) | 2017 | 2018 | 2019 |
Actifs non courants | 53 941 | 56 564 | 57 686 |
Actifs courants | 59 996 | 58 634 | 56 723 |
Dont trésorerie | 12 016 | 9 413 | 9 314 |
Fonds propres | 13 351 | 9 719 | 5 990 |
Passifs non courants | 44 455 | 44 693 | 46 045 |
Dont dettes fin. À LT | 6 948 | 7 463 | 8 189 |
Passifs courants | 56 131 | 60 786 | 62 374 |
Dont dettes fin. À CT | 2 212 | 1 463 | 1 959 |
Total bilan | 113 937 | 115 198 | 114 409 |
BFR | -5 939 | -10 102 | -13 006 |
Ratios (%) | 2017 | 2018 | 2019 |
Variation CA | -11% | 8% | 11% |
Marge opérationnelle | 4,5% | 7,9% | 1,9% |
Marge nette | 4% | 5% | -2% |
ROE | 18% | 31% | -23% |
BFR/CA | -10% | -16% | -18% |
Payout | 44% | 38% | |
Rendement dividende (c)/(a) | 1,9% | 1,6% | 1,4% |
Ratios d'endettement | 2017 | 2018 | 2019 |
Gearing (%) | -21% | -5% | 14% |
Dettes nettes / EBIT | -1,1 | -0,1 | 0,6 |
Valorisation | 2017 | 2018 | 2019 |
Nombre d'actions (en millions) | 774,6 | 775,7 | 782,3 |
(a) Cours (moyenne annuelle en euros) | 69,5 | 92,7 | 115,2 |
(1) Capitalisation boursière (en M€) | 53 851 | 71 943 | 90 122 |
(2) Dettes financières - trésorerie nette | -2 856 | -487 | 834 |
Valeur d'entreprise = (1)+(2) | 50 995 | 71 456 | 90 956 |
Données par action € | 2017 | 2018 | 2019 |
Bnpa | 3,0 | 3,9 | -1,7 |
(b) Actif net / Action | 17,2 | 12,5 | 7,7 |
(c)Dividende /action | 1,35 | 1,50 | 1,65 |
Valeur | 2017 | 2018 | 2019 |
PER | 23 | 24 | 0 |
VE/ROC | 19,1 | 14,2 | 67,9 |
VE/CA | 0,9 | 1,1 | 1,3 |
P/B (a)/(b) | 4,0 | 7,4 | 15,0 |
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Bonjour. Comment avez vous calculé le BFR de Airbus s’il vous plait?
Bonjour,
Voici la formule :
BFR = Stocks en cours + Clients et comptes rattachés – Fournisseurs et comptes rattachés – Dettes fiscales et sociales.
Cordialement